Les sentiments sont transmis depuis le centre nerveux situé près de l’estomac jusqu’à l’intérieur du corps, en passant par le système nerveux. Par cette centrale nerveuse, nos sentiments atteignent notre cerveau, qui délivre alors les impulsions nerveuses appropriées à notre corps pour convertir ces sentiments en paroles ou en autres actions.
Cette conversion des sentiments en mots a été développée et affinée par l’âme, au cours des nombreuses vies que nous avons eues. À l’époque préhistorique, l’homme n’avait qu’un cerveau de taille limitée. La conversion des sentiments en paroles était encore limitée. À cette époque, l’homme aboyait encore, comme le fait un chien aujourd’hui. Au cours de nombreuses vies, l’âme a adapté le cerveau à sa vie émotionnelle, de sorte que nous pouvons aujourd’hui recevoir et produire des sons nuancés et délimités pour nous faire comprendre par des mots.
C’est aussi la raison pour laquelle notre cerveau est considérablement plus grand que celui de l’homme primordial.
–Le savant dit alors : « Oui, nous ne comprenons pas : à l’époque préhistorique, ces grands hommes n’avaient qu’un si petit crâne, qu’un si petit cerveau ». J’ai alors voulu commencer à écrire en plus et lui renvoyer ce petit livre, votre docteur ; j’ai dit : « Oui, monsieur, parce qu’il n’y avait pas encore de sentiment. La vie des sentiments a créé le cerveau, car le cerveau n’est qu’une résistance pour transmettre la vie des sentiments. Le cerveau n’était pas nécessaire. Seul un petit cerveau était nécessaire pour cette grande bête animale et humaine. Il ne fallait que quelques cerveaux, juste un tout petit peu. Ce toit crânien qui permettait à un moustique de penser et d’agir, il n’y avait plus de sentiment ni de cerveau.
Lectures 2 p.57-58 (L2.1461.1469)
-Je suis ici en train de parler, de penser, le cerveau l’a déjà traité, mais à partir de cette source, j’envoie mes pensées à travers mon corps, et alors ces horloges, ces tissus entrent en vibration. Le cerveau n’est plus là que pour accueillir la sensation. André l’a expliqué à son peuple à La Haye, ou bien vous n’avez entendu que ho ho hoble bla ce soir, ou bien c’était des aboiements et des coups. Un chien et un animal, et toute autre vie, n’ont donc pas de concentration spirituellement humaine sur la vie sensible. Car auparavant, dans la jungle, l’homme aboyait aussi. Avec l’avènement de la conscience et de la concentration, le cerveau a pu s’adapter à la vie émotionnelle. Tout vient donc de la vie émotionnelle pour l’expansion matérielle.
Question and Answer 6 p.181(Q6.6971.6977)
Source: Citations des livres de Jozef Rulof
*Deux des livres de Jozef Rulof ont été traduits en français:
1.Ceux qui sont revenus de la mort
2.Le Cycle de l’âme
Les citations des autres livres sont pour l’instant uniquement en anglaise, néerlandais, allemand et espagnol